C'est l'Afrique que je préfère, celle que j'imaginais...
Fini les parpaings et les poubelles partout qui gangrènent les villes...Bonjour la poussière de latérite, les cahots de la piste, les baobabs majestueux, le cheminement des femmes portant les calebasses sur leur tête, les taxis-brousse bondés...Un dépaysement total : mais attention, il ne s'agit pas de crever ou de tomber en panne sur cette piste écrasée de chaleur!
En mars les baobabs n'ont pas de feuilles
Maigre paturage pour ces zébus...
Les troncs rectilignes des palmiers
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